Le salon/salle a manger/cuisine

Cette pièce possède en son centre un petit foyer entouré des pierres, où se trouvent des cendres, et parfois, des morceaux de bois. Il y a au sol quelques tissus miteux, qui ne peuvent même pas cacher la misère qui règne dans ce lieu. Les adolescents se regroupent ici pour manger, discuter, répartir l'argent, cuisiner ou se réchauffer au feu... On accède à cette pièce par une trappe située dans le toit, la porte de la maison abandonnée étant condamnée...

suite de « la pièce où on dort » (ici)

Nalya arriva dans la salle en se dirigeant vers l’endroit désigné comme « le garde-manger ».
Elle fouilla entre les papiers d’emballages et fini par déniché une pomme. Elle était un peu moisi mais elle avait l’habitude. Elle croqua dedans avec appétit.

Elle se demanda si pour les autres tout c’était bien passé. Il n’y avait pas de raison, ils étaient tous des pros du vol, et c’était pourquoi le chef de la bande, ou en tout cas celui qui se conduisait comme tel, les avait pris dans son équipe. Mais elle était la seule qui éprouvait des remords à voler les gens. Il y en a même une, Eryla ou un nom comme ça, qui était heureuse de voler, de leur prendre les biens des personnes. Ils ne volaient pas que des gens qui avaient trop d’argent, les victimes de leurs multiples emprunts étaient parfois de pauvres gens, qui avait besoin du moindre murins en leur possession. Et Nalya était triste pour ces gens là.

Elle s’assit par terre, faute de chaise, pour finir tranquillement sa pomme.

Suite de la planque : ici

Kaname, tiraillé pas la faim, entra dans la cuisine. Et comme il s'y attendait y trouver LA fille, Naly en pleine bataille avec une pomme moisi et pourri. Il éprouva un sentiment de dégout ! Ce qu'il voulait c'était de la viande...Et justement il y en avait là, pleine de sang...Il la regarda ,tel un vampire attend d'attaquer sa proie, mais au dernier moment se ravisa et tourna la tête. Ce qu'il avait empêcher de tuer cette jeune fille c'était son aveuglement face à sa beauté si sombre...Il respirait difficilement, reprenant son souffle après cette lutte contre lui-même. La fille,elle, avait l'air plongée dans ses pensées.

Il pensa...*Aussi triste que moi...elle aussi sa vie doit être peuplé de malheur pour qu'elle fasse cette tête*

Il rigola intérieurement, d'un petit rire nerveux. Vite, son envie de sang remontait en lui, il ouvra la porte du petit placard et chercha, chercha de la viande. Mais il n'y en avait pas. Pas un poil de lard, ni de bœuf, ni de cochon...RIEN. Il fixa la fille. Son corp avait envie d'aller vers elle, de planter ces deux grandes canines dans sa cher si tentre...Mais son esprit lui disait le contraire. Il regarda une dernière fois cette jeune innocente et s'enfui dans la rue...

Comment a-t-il pu oser ?! s’indigna-t-elle intérieurement.

Eryza essaya de se défaire de l’emprise d’Hikage mais celui-ci la tenait avec tellement d’insistance qu’elle eu l’impression qu’un étau lui enserrait l’épaule. La main qui la maintenait en place était puissante et très froide. Le visage qui était d’habitude fermé et sans expression, laissait transparaître la rage intérieure d’Hikage. Tous ce qu’Eryza voyait de lui, lui inspirait un dégoût mêlé de pitié et de haine.

Tu n’es pas le seule à avoir des problèmes! Se mit elle à hurler.
Tu n’es qu’un pauvre crétin, prétentieux ! Crois-tu sincèrement que l’on puisse être heureux de la vie que j’ai, qu’on a tous ? Non ! Mais moi au moins je fais tout pour m’en contenter, je n’essaye pas de me cacher derrière une façade ! Je me contente de se que j’ai et je n’en veux pas à tout le monde pour ce que je n’ai pas ! Et je n'ai aucune envie de partir!

Ses joues s’étaient empourprées et des larmes commençaient à lui embrumer la vue. Tout sont corps tremblait de rage et de tristesse, comme avant, avant qu’elle ne soit libre. Sa machoir était serrée car elle refusait d'hurler. D’un geste furieux elle essuya une larme. Sa voie rauque et étranglée par la rage était réduit à présent à l’état de murmure.

Moi je n’ais pas besoin de mentir ou d’être méchante pour exister ! Je ne t’aime pas non, ça c’est sur… Et tu sais pourquoi ? Moi j’aime vivre et pas donner la mort, je me contente de ma simple indépendance, je ne veux pas avoir une vie merveuilleuse et sans passions… j’aime mon humanité !

Ses derniers mots semblèrent résonner durant quelques instants comme si tout l’air s’était figé autour d’eux trois. Sa colère s’était un peu calmée à présent, ses tremblements avaient cessés. Elle donna de nouveau un grand coup d’épaule pour se dégager de l’emprise d’Hikage mais cette fois celui-ci ne lui fit aucune résistance et la jeune fille se libéra sans la moindre difficulté. La main d'Hikage retomba comme vaicue ou privée de sa force. Elle ajouta dans un chuchotis à peine audible la phrase qui terminerait son monologue.

Chacun a une part de rêve en lui, moi je ne veut pas me contenter de rêver ma vie, je veux au moins quelque chose de plus grand.

[HRP] Eryza, tu as encore géré les personnages des autres... (enfin, là, mon personnage ) "celui-ci ne lui fit aucune résistance" "La main d'Hikage retomba comme vaincue ou privée de sa force.". Ca parait pas très important, comme ça, mais il faut y faire attention, surtout lorsque ça va à l'encontre du caractère d'un perso qui n'est pas le tien... Il faudrait au moins que tu enlève la phrase : "La main d'Hikage retomba comme vaincue ou privée de sa force." ^^’ [/HRP]


J’aime mon humanité !

Cette phrase avait tout pour le déstabiliser. Il n’était pas humain. Il n’avait plus d’humanité. Il était un Vampire, un monstre sans âme.
Il laissa la jeune fille se libérer de son étreinte, et resta à la regarder pendant quelques instant. Puis, dans un chuchotement, elle finit son petit discours. Très tendu, il fit un pas en arrière. Il était toujours très près de la jeune fille, même avec cet écart qu’il venait de créer. Du bras tendu, il aurait pu la toucher…

Et c’est ce qu’il fit.

Son bras rigide et ferme se propulsa vers la joue d’Eryza, et il lui infligea une gifle d’une puissance incroyable. Le bruit retentit quelles que seconde dans la pièce avant qu’il ne reprenne la parole :

-Tu n’as peut-être pas envie de partir, mais si moi, j’en décide autrement, tu nous quitteras. Ce n’est pas toi qui choisis. Je décide. Et toi, tu obéis. C’est tout.

Il laissa Eryza, et Nalya, digérer ses paroles. Une nouvelle fois, pourtant, il ne leur laissa pas le temps de répondre :

-Si vous ne m’obéissez pas, vous partez. Si vous ne partez pas, je vous tue. Est-ce assez clair ?

Le coup d'Hikage fut donné avec tellement de puissance qu'il mit Eryza à terre. La jeune fille eut l'impression que ses pieds avaient quittés le sol, avant que son corps tout entier ne s'y écrase durement. En tombant sa tempe heurta un morceau saillant du mur et à présent une plaie lui entaillant le sourcil. Elle se relevait non sans mal pour faire face à son agresseur quand tout à coup Nalya se mit à crier:

-Arrêter de vous disputer ! On a tous trop besoin les uns des autres !!! Chacun de nous est indispensable au bon fonctionnement de notre groupe ! Vous vous disputez alors que nos réserves de nourriture ne sont pas au plus haut et que vous ne pouvez plus allez tous les deux au marché pour quelques temps, c’est vraiment stupide !! Alors arrêter de vous disputez pour rien !!! On dirai deux gamins des rues !

*Qu'est ce qui lui prend? Elle qui parle à peine...*

Eryza s'approcha d'elle d'un pas hésitant. La petite Nalya assise ainsi appuyer contre le mur paraissait encor plus fragile qu'à l'habitude. Le coup avait été très puissant, à présent Eryza lattait contre la douleur grandissante qu'elle éprouvait et l'envie de vomir. Le dos tourner vers Hikage elle dit à mis voie:

Elle a raison même si tu ne veux pas l'admettre, nous avons tous besoin les uns des autres et...
Elle n' eut pas le temps de finir car elle vacilla et pour la deuxième fois elle tomba. Le coeur au bort des lèvres et la sang de sa tempe coulant à petites goûtes il lui semblait apercevoir de l'agitation mais elle n'en était pas sur car sa vue déclinait.

La claque envoya Eryza au sol. Durement, elle frappa le mur, pour se relever seulement quelques secondes après, comme si elle était surprise, retournée, ou même… blessée.

Sur sa tempe, luisaient quelles que gouttes rouges sombres.

Du sang.

Du sang humain.

Si Hikage n’avait pas chassé il y a quelques heures à peine, il aurait tué la jeune fille.

Eryza sentait si bon…

Elle avait une odeur forte, entêtante, presque violente. Une odeur qui allait parfaitement avec son caractère.

Un coin de son esprit entendait Nalya crier, une longue tirade inhabituelle pour cette jeune fille si discrète qu’on pouvait parfois l’oublier… Il ne comprenait même pas ce qu’elle disait, mais il distinguait sa voix, qu’il connaissait si peu.

Mais le reste de son esprit était concentré sur l’odeur d’Eryza, et sur le contrôle qu’il devait avoir sur lui même pour ne pas se jeter sur elle, la tuer, puis boire son sang, se repaître de cette nourriture qu’il avait abandonné depuis si longtemps…

La jeune fille ne se rendrait même pas compte de sa propre mort.

Que disait Nalya ?

-…nos réserves de nourriture ne sont pas au plus haut…

Il suffisait de les remplir. Il commencerait par Eryza, mais il pourrait tuer autant d’humains qu’il le désirait. La ville était là pour lui, les humains n’avaient été crées que pour satisfaire la soif de créatures plus dangereuses, plus importantes, plus cruelles…

-…c’est vraiment stupide !! Alors…

Stupide ? C’était l’ordre des choses, les prédateurs tuaient les proies, les Vampires tuaient les humains… Il avait besoin de combler sa soif, toujours présente, et seuls ces créatures insignifiantes pouvaient lui rendre son intégrité… Il voulait du sang…

-…vous disputez pour rien !!!

Ce n’était pas rien, il avait besoin de sang, c’était vital ! Il était un Vampire, et il avait soif, soif d’une nourriture plus riche, une nourriture plus adaptée, soif de sang humain !

-…des rues !

La rue. Il devait aller dans la rue. Pourquoi ? Y aurait-ils des humains là-bas ? Pourrait-il tuer ? Mais il voulait commencer par Eryza…
Une partie de son esprit, la toute petite partie qui comprenait ce que Nalya disait vraiment, le retenait encore de ne pas tuer, et lui dictait de fuir la planque. Il devait partir. Il devait…

Eryza lui tourna le dos. Nalya était assise contre le mur, et Hikage sentit l’odeur salée des larmes. Il entendit les sanglots de Nalya, qui pourtant ne sortaient pas de sa bouche, mais restaient plutôt coincés dans sa gorge. Il sentit tout cela, il le comprit en une fraction de seconde.

Eryza lui avait tourné le dos, l’odeur du sang avait légèrement refluée, et il avait l’esprit plus clair.

Il comprit enfin pourquoi il devait aller dans la rue, pourquoi c’était vital pour Eryza et Nalya, deux jeunes filles sans défenses, enfermées dans une pièce minuscule, avec comme seul compagnon un vampire près a perdre le contrôle de ses actes, et… une goutte de sang.

-Elle a raison même si tu ne veux pas l'admettre, nous avons tous besoin les uns des autres et...

Eryza tomba.

Hikage le comprit, et avant même qu’elle ne touche le sol et que sa plaie s’ouvre plus encore, Il sortit de la planque, avec sa rapidité de Vampire, qu’il ne cacha même pas. Mais qui pouvait le voir ? Il y avait dans la planque une jeune fille assise contre un mur, la tête dans les genoux, et une autre au sol, fermant doucement les yeux…

Il lui fallut moins de deux battement de cœur humain pour se retrouver dans la rue, où l’air frais et chargé d’odeurs se chargea de lui faire reprendre entièrement son self-control.

Aka c'était remie, elle avait vue la jeune fille sortir à pas précipités hors de la planque. Aujourd'hui, Aka c'était maîtrisé, une grande nouvelle. Et triste aussi. La fille qui l'avait vue était partie, elle n'avais pas eu le temps de la tuer. L'autre était toujours alongée.

*Qu'est-ce qe je dois faire...qu'est-ce qu'il aurait fais à ma place ? *

Aka se leva. Elle était épuisée mais il fallait qu'elle poursuive cette fille. Cette fille qu'elle avait vue, cette fille qui l'avait vue. Elle devait la pistée, prendre une décision, et vite. Elle sortie de la planque.

Chacun à quelque chose à cacher un secret, peut-être une angoisse ou une honte, un doute. Quelque chose que l'on partage à avec ceux qu'on aime comme pour dire "je vous fais confiance et je vous aime" et nos secrets une fois révéler deviennent le ciment de notre amour... Mais quand on a personne à qui dire nos secrets soit ceux ci nous écrasent et nous mourrons de chagrin sous le poids des remords. Soit nous les crions à la terre entière pour en être enfin libérer et nous nous rendons compte bien vite que le regards accusateurs des autres pèsent plus lourd que le plus grave des crimes. Soit dans certains cas on choisit de les taire jusqu'à les oublier et les faire disparaitre, mais oublier un secret c'est comme essayer de se passer d'une partie de soit :chassez le naturel et il revient au galop, on perd l'habitude se souffrir et quand par malheur on se remémore se que l'on a tu notre esprit se déchire et devient fou!
Eryza était dans le troisième cas...
Son corps était étendue sur le sol crasseux, blessée (bien que soignée) et seule. La pluie qui commençait à filtrer à travers le toit de chaume s'écrasait en petites goûtes à coté d'elle. Eryza semblait, malgré tout cela, presque paisible mais en vérité elle n'avait jamais été moins tranquille. Dans ce sommeil provoqué elle revivait ce secret qu'elle avait oublier, bien qu'il ne soit pas atroce elle n'en avait jamais parler à qui que se soit de peur d'être juger et aussi par manque d'amis véritable.

Elle volait au dessus de son enfance, elle se revoyait dans les bras de sa mère petite fille, sa mère lui disait combien elle l'aimait. Eryza avait été autre fois une enfant aimée et choyer bien qu'elle n'ait jamais été riche, elle avait eut une famille... Elle revoyait son père jouer avec ses cheveux et son frère la porter sur ses épaules en riant. Pourtant cette petite fille n'avait rien de joyeux, déjà à cette age elle n'était obsédée que par le feu, rougeoyant comme se cheveux, ardent comme son caractère, étincelant comme ses yeux, et brûlant comme sa passion! Un de ses seuls plaisir était de voir les flammes danser dans l'âtre de sa cheminer.
Elle revit le jour ou sa vie avait accueilli une deuxième passion: le vol! Elle n'avait alors que sept ans. Sa famille pauvre avait à peine de quoi s'acheter du poisson, mais la fillette voulait goûter à la viande une fois dans sa vie, car elle avait entendue dire que son goût était des plus savoureux et qu'elle était la risée des enfants de son village car elle ne savait pas quel en était le goût. Un jour de marché elle avait réussi à prendre un morceau de viande sur l'étale d'un commercent. Elle l'avait emmené chez elle, le sortant de sous son manteau comme l'on sort un trésor précieux et avait mordu dedans à pleine dents sans même la faire cuire, elle l'avait aussitôt recracher maudissant ceux qui lui avait dit qu'elle était bonne à manger. Elle le lança alors dans le feu, et sous ses yeux la viande bruni et une douce odeur de nourriture empli ses narines, elle la ramassa alors et la gouta... Eryza ne se souvenait pas avoir manger pareil délice! Elle fut convaincue que le vol et le feu lui permettraient de toujours avoir ce qu'elle souhaitait.
A partir de ce moment elle volait tout ce qui lui plaisait puis le faisait brûler et chaque fois qu'elle faisait cela elle était heureuse et emplie d'un plaisir que personne ne peut comprendre :un plaisir de fou! Elle se faisait souvent attraper et payait le prix fort. Ses parents étaient désespérés par son comportement et ne savait que faire. Quand à elle plus personne ne voulait être sont ami pourtant le feu lui suffisait. Mais tous cela cessa le jour où elle tenta de faire brûler le chaton d'un voisin. Sa mère avait pleurer et son père lui avait crier:

Puisque tu ne veux pas apprendre les bonnes manières, plus question de te les enseignées! Tu restera cloitrée à la maison sans plus sortir!

Et il en fut ainsi...
Le rêve tournait au cauchemar, toutes ces année à ne jamais sortir, à ne jamais voir le soleil, à ne jamais voler et brûler, plus un sourire de ses parents plus de joie ni d'espérances. Cette vie faite d'inexistence elle ne la supportait pas. Elle s'entrainait chaque jour à créer une flamme au bout de ses doigts et une jour elle réussi non pas à créer une flamme mais un incendie entier, l'incendie qui avait ravager sa maison. Pendant une énième nuit d'insomnie, elle avait pleurer et prier pour que sa famille tout entière meure sous les flammes, alors elle avait allumer le feu. Elle s'était enfuie dans la nuit, l'air fouettant de nouveau son visage, l'herbe caressant de nouveau ses pieds... elle allait vivre dans la cité dont sa mère lui disait que les seigneurs mangeaient de la viande chaque jour et que la cheminé faisait la taille de sa maison! Un jour Eryza serait un seigneur!
Mais la vérité ne fût pas celle ci et elle ne raconta à personne les années de son enfance, les taisant à tel point qu'elle même avait peur de se les dire. Puis elle oubliai.

Elle se réveilla et une affreuse douleur au niveau de la tête la torturait, la pluie tombait à présent sur son visage, et une horrible envie de vomir la saisissait. Des larmes chaudes coulèrent le long ses joues et elle ne pu s'empêcher un cris de rage et de désespoir.

NNOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNN!!!!

Elle se trainait vers la paillasse en sanglotant quand elle entendit une voie mélodieuse murmurer à son oreille:

Ne crains rien, je suis là...

Eryza fermant les yeux vit le grand phénix dont on parlait dans le légendes.

Ne t'inquiète pas, tout est finit... disait le grand oiseau de feu. Viens, viens à moi.

Eryza s'approcha de lui tendant sa main, si elle le touchait plus rien ne pourrait lui arriver. Elle sentait sa puissance l'enivrer, elle se plongea dans son corps et le sien s'embrasa se fondit pour ne faire plus qu'un avec le puissant phénix.

Dors...

Et elle s'endormit.

[HRP] pour celle qui sont dure de la comprenette l'épisode avec le phénix c'est juste qu'elle délire [/HRP]